• Référendum pour les animaux !

    Je soutiens le référendum pour les animaux.

    Référendum pour les animaux !

     

    Les mesures

    1- Interdiction de l’élevage en cage

     

    L’élevage en cage est le mode d’élevage le plus douloureux pour les animaux.

    En France, il concerne encore 58% des poules pondeuses, 99% des lapins et la majorité des cailles, oies ou canards.

    Les truies sont maintenues en cages ou box individuels plusieurs mois par an, en plus de passer leur vie enfermées en bâtiment.

    Les veaux passent leurs 2 premiers mois enfermés en box individuels, dans lesquels ils peuvent juste se retourner (puis le reste de leur courte vie en bâtiment sans accès extérieur).

     

     

     

    Entassés à plusieurs dans un espace minuscule, sans possibilité de se dresser sur leurs pattes ou d’étendre leurs ailes, ces animaux souffrent de manière abominable du premier au dernier jour de leur existence.

    Privés de tout contact avec un élément autre que le fer et le plastique qui composent leurs cages, ils développent des troubles psychologiques et physiques majeurs.


     

     

    Dans les élevages de poules pondeuses, les enquêtes filmées montrent une très grande agressivité entre les animaux, liée à la promiscuité, et l’existence de comportements cannibales.


     

     

    Plusieurs grandes entreprises de distribution, comme Monoprix ou Carrefour, ont déjà décidé de ne plus commercialiser d’œufs issus de l’élevage en cage et le groupe Avril, leader français sur le marché de l’œuf, s’est engagé à mettre fin à l’élevage en cage d’ici 2025.


     

     

    Dans la proposition de loi, la date butoir de 2025 est ainsi proposée pour permettre aux éleveurs de réaliser les aménagements nécessaires.

    90% des Français sont favorables à l’interdiction de l’élevage en cages des poules pondeuses (sondage YouGov 2018).

     

     

    2- Interdiction des élevages à fourrure

     

    Dans notre pays, des visons continuent d’être élevés en cage dans des conditions abominables.


     

     

    Ils sont abattus dans le seul but de produire de la fourrure, alors que l’industrie du textile a depuis longtemps développé d’autres matières isolantes très efficaces, y compris de la fausse fourrure.


     

     

    De nombreuses marques de vêtements ont déjà cessé d’utiliser de la fourrure animale, parmi lesquelles de grandes enseignes de luxe (Chanel, Jean-Paul Gaultier, Gucci, Versace, The Kooples, Maje…).


     

     

    91% des Français s’opposent au commerce de la fourrure (sondage Ifop 2019) et les élevages à fourrure sont déjà interdits dans plusieurs pays, dont l’Autriche, la Norvège, la Grande-Bretagne ou les Pays-Bas.


     

     

    Dans la proposition de loi, la date de butoir de 2025 est proposée pour laisser le temps aux éleveurs d’organiser une fermeture ou une reconversion.

     

     

    3- En finir avec l’élevage intensif

     

    En France, l’élevage intensif fournit la grande majorité de la viande consommée.


     

     

    Ainsi, 98% des porcs sont élevés dans des bâtiments fermés sans aucun accès à l’extérieur. De même, plus de 82% des poulets de chair sont enfermés par milliers dans des hangars n’offrant pas d’accès à l’extérieur et entassés jusqu’à 22 individus par m².

    97% des dindes sont élevées en bâtiment fermés, 62% des chèvres également.
    Un peu plus de 62% des poules pondeuses (environ 51% en cages + 12% au sol en bâtiment)


     

     

    Les conditions de vie des animaux qui vivent dans ces exploitations industrielles sont catastrophiques. Promiscuité extrême, ennui, blessures non soignées, agressivité, espace trop petit pour étendre ses ailes ou se déplacer sans bousculer ses congénères…


     

     

    L’élevage industriel, en plus de ne pas répondre aux besoins naturels élémentaires des animaux, a un énorme impact environnemental.

    Face à l’urgence climatique, la France ne peut plus continuer dans cette voie et doit soutenir les éleveurs qui décident de se convertir à l’élevage biologique ou en plein air.


     

     

    La proposition de loi que nous voulons soumettre au référendum inclut donc un moratoire immédiat sur l’élevage intensif : tout nouveau projet d’exploitation devra impérativement garantir aux animaux la possibilité d’un accès quotidien au plein air.


     

     

    Le texte pose également le principe d’une interdiction de l’élevage en bâtiment fermé sans accès à l’extérieur en 2040. Ce délai de 20 ans permet aux éleveurs déjà en activité de réaliser les aménagements nécessaires, avec l’aide des collectivités.


     

     

    88% des Français sont opposés à l’élevage intensif et 87% d’entre eux sont défavorables aux méthodes de production ne laissant aucun accès extérieur aux animaux (sondage YouGov 2019).

     
     

    4- Interdiction de la chasse à courre, du déterrage et des chasses dites « traditionnelles »

     

    La chasse à courre, aussi appelée « vénerie », consiste à traquer un animal (un cerf, sanglier, chevreuil, renard ou lièvre) jusqu’à épuisement à l’aide d’une meute de chiens et de cavaliers à cheval.



     

    Cette pratique issue de l’aristocratie est particulièrement cruelle pour l’animal poursuivi, puisque la traque peut durer plusieurs heures, provoquant un stress intense.



     

    Dans la chasse à courre, on ne cherche pas à abattre l’animal le plus rapidement possible et sans douleur. Au contraire, la poursuite et la mise à mort sont volontairement longues et scénarisées.



     

    Le cerf est achevé à l’arme blanche. Son corps est jeté aux chiens, sa tête conservée comme trophée, et ses pattes coupées puis offertes à des invités.



     

    La chasse à courre est un jeu où l’on torture un animal dans le seul objectif de se divertir. De nombreux incidents ont été signalés en France ces dernières années lors de chasses à courre, les cerfs paniqués se réfugiant parfois sur des routes ou des terrains privés, les veneurs n’hésitant pas à s’y introduire pour tuer leur proie.



     

    84% des Français sont opposés à cette pratique (sondage Ifop 2017) et la chasse à courre est déjà interdite dans plusieurs pays, dont la Grande-Bretagne et l’Allemagne.



     

    Nous proposons également d’interdire la vénerie sous terre, qui consiste à déterrer des familles de renards et de blaireaux à l’aide de chiens et de pinces pour les tuer. Cette méthode sadique, cousine de la chasse à courre, menace les populations de blaireaux, espèce déjà protégée dans de nombreux pays européens.



     

    Enfin, nous souhaitons que les Français puissent exprimer leur opposition aux autres chasses dites « traditionnelles », qui subsistent dans certains départements de notre pays alors qu’elles sont déjà bannies par nos voisins européens.



     

    Il s’agit là de piéger des oiseaux en les collant (avec de la glu), en les étranglant (tenderie) ou en les écrasant (tendelle).



     

    Ces méthodes, en plus d’être cruelles, sont non sélectives et aboutissent à la capture d’espèces protégées menacées d’extinction.

     
     

    5- Interdiction des spectacles avec animaux sauvages

     

    Dans le monde, 60% des animaux sauvages ont disparu ces quarante dernières années.



     

    L’effondrement de la biodiversité et les découvertes toujours plus fascinantes sur l’intelligence et la sensibilité animale devraient nous pousser à bien traiter les animaux captifs.



     

    Pourtant, en France, des lions, tigres, dauphins, éléphants ou encore singes sont toujours utilisés comme des objets de divertissement dans les cirques et delphinarium.



     

    Ces animaux issus d’espèces sauvages sont forcés à réaliser des « performances », tout en vivant dans des espaces clos minuscules.



     

    Ces conditions de vie constituent une maltraitance, les animaux non domestiques ayant besoin de grands espaces pour répondre aux besoins naturels de leurs espèces.



     

    Un animal sauvage n’est ni une peluche, ni un clown, ni un jouet.



     

    72% des Français sont favorables à l’interdiction des animaux sauvages dans les cirques (sondage Ifop 2020) et cette pratique est déjà interdite dans de nombreux pays, dont le Danemark, la Grèce, le Costa Rica, le Mexique, la Hongrie, la Roumanie ou encore la Finlande.

     
     

    6- Interdiction de l’expérimentation animale si des alternatives existent

     

    L'expérimentation animale en France concerne près de 2 millions d'animaux.


     

     

    Ce chiffre passe à 4 millions si l’on ajoute les animaux transgéniques qui ne sont pas comptabilisés comme le font les autres pays. En Europe, la France se classe en première position pour le nombre de chiens et de primates expérimentés.


     

     

    Le plus grand élevage français de chiens pour les laboratoires a décidé de s’agrandir, passant de 500 à 3600 reproducteurs. La France, c'est 429 000 animaux qui subissent des expériences à douleurs sévères. C'est aussi 3708 projets de recherche avec animaux soumis aux comités d’éthiques en 2017. Aucun n’a été refusé.


     

     

    Tout ceci avec l’aval de l’État alors que l’Union Européenne exige que l’on réduise le recours aux animaux dans la recherche. Il y a moins de 20% de visites inopinées dans les laboratoires français quand la moyenne en Europe est de 40%.


     

     

    Enfin, l'expérimentation en France, c'est 0 € versé à l’organisme promouvant les méthodes substitutives quand le Royaume-Uni a investi 65 millions de livres sur les quinze dernières années.


     

     

    Pour toutes ces raisons, il est impératif d'obliger la France à utiliser les méthodes substitutives lorsqu'elles existent. 90% des Français sont favorables à l’interdiction de l'expérimentation animale si des alternatives sont possibles (sondage IFOP 2018).

     

     

    ENGAGEZ VOUS A SOUTENIR CE REFERENDUM - MERCI.

    Référendum pour les animaux !

     

     

    Pin It

    Tags Tags : , , , , , , , , , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter